À Najac, on vit la vie, on la sent, on crée un peu et on transforme tout ! Nous sommes en 2001 et un drame à l’autre bout du monde va toucher l’humanité toute entière. Alors qu’une ère de crainte et de rancœur vient de débuter, la vie de la campagne reprend son cours avec simplicité, humour et humanité. Octobre 2008, l’hiver frappe à la porte du petit village de l’Aveyron. M. Sauzeau, mécanicien génial au cœur bien huilé, disparaît…Et avec lui s’éteint un peu de l’âme de Najac.
Dernier volet de la trilogie sur la ville de Najac, après La vie comme elle va et Ici Najac à vous la terre.

❋ Avant première organisée en partenariat avec le Kino-Ciné, en présence du réalisateur Jean-Henri Meunier. Sortie prévue le 21 mars 2012.Attention ! Séance Hors PASS.
www.kino-cine.com

❧ 19h : Remise des Prix (L’Univers)
❧ 22h : Cocktail de clôture (L’Univers)

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Octobre 2010. Le gouvernement veut faire passer en force sa réforme des retraites, la rue se réveille. Les dépôts et raffineries de pétrole sont bloqués. Situation inédite depuis Mai 68. Malgré eux, les grévistes de la raffinerie Total de Grandpuits en Seine et Marne vont alors devenir le fer de lance de la lutte. Réquisitions, charges policières, propagande, le pouvoir concentre sa charge contre les raffineurs, ce qui aura pour conséquence de créer autour d’eux un grand mouvement de solidarité nationale et internationale.
Ce film, qui raconte cette lutte de l’intérieur, pointe les petites victoires qui sont souvent minimisées et oubliées. Un outil de débat sur les luttes sociales et syndicales.

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Loin des projecteurs, Jean Henri Meunier suit pendant plus de 2 ans un groupe de SDF, dont un vagabond, clown «aux semelles de vent», Fakir, fil rouge de «Rien à Perdre» (2010) qui relate le combat des Enfants de Don Quichotte Toulousains pour avoir un toit, puis il réalise la suite «Tout à Gagner», où trois des personnages s’épanouissent grâce à l’amour, aux études et au travail.

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” La Bio dans tout ses états “

De 15h à 17h / L’Univers

Conférence proposée par Laurent Tabouriech

« La bio c’est trop cher, c’est un truc d’utopiste, de bobos, un effet de mode, une niche commerciale, un beau rêve dénaturé par la bio industrielle, une nouvelle forme d’hygiénisme ou de dictature de la «vie saine», une sorte de secte, un truc inutile vu qu’on va tous crever à cause de Fukushima… »

Voilà quelques uns des propos que nous pouvons entendre fréquemment sur le sujet. La manière de formuler ces critiques est maladroite. Les auteurs et les ONG qui publient sur le sujet, les communicants, les acteurs institutionnels de l’agriculture bio, ne répondent que rarement à ces propos, et font comme s’ils n’avaient rien entendu. Question mal posée d’un côté, refus de répondre de l’autre : nous voilà bien ! Nous tenterons donc de reformuler ces questions, mais en les prenant au sérieux, sans les rejeter comme propos de comptoir. Nous tâcherons de saisir un peu mieux les raisons et la nature de ce qu’il faut bien appeler l’échec de la bio Française (2% des surfaces cultivées). Nous essaierons aussi de trouver quelques raisons d’espérer. Dans tous les cas, il y aura du chauffage, de la bière, nous nous mettrons tous en rond et essaierons de penser : un moment dans le plus pur esprit Ecollywood !