Le Festival Ecollywood veut permettre au grand public de découvrir des oeuvres cinématographiques rares qui interrogent sur les enjeux écologiques, citoyens et solidaires (ÉCS) contemporains. Il s’agit de confronter différents points de vue en apportant une vision et une connaissance transversales sur l’ÉCS aujourd’hui, et son impact sur la société.
Qu’il s’agisse de documentaires, de fictions, d’animations ou d’essais, toutes les formes cinématographiques sont acceptées. Il n’y a pas de genre imposé, ni de préférence de durée, tous les types de réalisation (individuelle, collective, d’atelier, d’école…) sont les bienvenus, qu’ils soient amateurs ou professionnels.
Attention ! Une sélection spéciale “jeune public” est aussi au programme ! Celle-ci comprend non seulement les films destinés aux +5/10 ans, mais encore aux collègiens ainsi qu’aux lycéens. Nous vous invitons à envoyer vos films pour cette catégorie.
Les films doivent simplement répondre aux thématiques du festival :
Écologie, Citoyenneté, Solidarités
***
Toutes les démarches d’inscription sur cette page :
Appel à films
Vous êtes nombreux à nous avoir sollicité pour une version écrite de la Conférence “La Bio dans tous ses États”, proposée par Laurent Tarbouriech dans le cadre du festival Ecollywood.
C’est maintenant chose faite. Nous vous remercions pour votre patience qui aura permis au graphiste Vincent Voulleminot l’élaboration d’un document très clair et très “classieux”.
Vous pouvez donc maintenant télécharger ce document, sous son nouvel intitulé : “C’est du bio : Recension critique des reproches couramment adressés à l’agriculture biologique et des réponses souvent énervantes ou inadéquates qui y sont faites.”
On reprochera volontiers à l’Agriculture Biologique d’être : un truc d’élite, un truc d’utopiste, un truc de bobo, une niche économique, un beau rêve trahi par la bio industrielle, une nouvelle forme d’hygiénisme ou de dictature de la « vie saine », une sorte de secte, et on en passe…
Ces critiques sont courantes, pour autant, les acteurs institutionnels de la bio (FNAB, Agence Bio…) comme les communicants, les auteurs ou les ONG qui publient sur le sujet ne répondent que rarement à ces attaques ; tout au plus, on répondra aux critiques portant sur les prix élevés. La formulation de ces critiques ne permet pas de penser le problème. En même temps, refuser de les prendre en compte, les ignorer ou les renvoyer à leur statut de propos « de comptoir », c’est se priver d’informations précieuses. Ces propos, si on prend la peine de les analyser, nous en disent long sur quelques dysfonctionnements majeurs de l’AB.
Catégories
Les Funambulants